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Un jour, Henri Ford, le célèbre génie automobile, conçut un plan révolutionnaire pour créer un nouveau type de moteur que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de V8. Ford avait hâte de mettre son idée à exécution. Il fit dessiner des plans qu’il présenta à ses ingénieurs. Au fur et à mesure que les ingénieurs étudiaient les plans, tous sans exception en arrivèrent à la même conclusion : leur patron visionnaire ne connaissait pas grand-chose aux principes fondamentaux de l’ingénierie. Il fallait lui annoncer la nouvelle avec beaucoup de délicatesse : son rêve était impossible à réaliser.
Ford leur répondit: « Arrangez-vous pour le produire quand même. » « Mais c’est impossible » lui répliquèrent-ils. « Allez-y! », ordonna Ford, « et restez sur ce projet tant que vous n’aurez pas réussi, peu importe combien de temps il faudra y travailler ! » Six mois durant, ils s’attelèrent à la tâche, dessin après dessin, maquette après maquette. En vain ! Encore six mois. Toujours rien. Au bout d’un an sans résultats, Ford consulta ses ingénieurs et ils lui expliquèrent une fois de plus qu’il leur demandait l’impossible. Ford leur répondit de continuer à chercher. C’est ce qu’ils firent, et ils finirent par découvrir comment construire un moteur V8. Lorsqu’on refuse d’abandonner, tout est possible. ![]() C’était un jour d’hiver, on voyait tomber quelques flocons de neige et il faisait froid. P’tit Jacques montait et redescendait la rue, un paquet de journaux sous le bras. Il n’avait que dix ans et devait se débrouiller tout seul. Cela faisait déjà trois ans qu’il gagnait sa vie en vendant des journaux. Auparavant, il avait vécu chez Mme Barlow, une gentille vieille dame qui l’avait recueilli à la mort de ses parents. Il regrettait le temps où il pouvait retrouver la chaleur de sa petite maison. L’hiver, quand il faisait froid comme aujourd’hui, elle avait toujours du feu et, quand il rentrait, elle lui servait une boisson chaude. Cette aimable vieille femme prenait si bien soin de lui ! Quel merveilleux souvenir il avait de ces années-là ! Un jour, à l’approche de Noël, avant la mort de Mme Barlow, une jeune femme missionnaire était venue leur rendre visite. Elle leur avait apporté un colis de denrées alimentaires et de vêtements chauds, et p’tit Jacques ne pouvait oublier pareille gentillesse. Sachant que le garçonnet n’avait pas de papa, elle lui avait remis une magnifique petite carte, en lui disant que Dieu voulait devenir son Père et s’occuper de lui. Elle avait ajouté que c’était une image de Noël rien que pour lui. Il n’avait jamais vu d’aussi jolie carte ! La dame lui en avait lu et relu le texte jusqu’à ce qu’il le connaisse par cœur : « À tous ceux qui L’ont reçu et qui croient en Lui, Il a donné le privilège de devenir enfants de Dieu. » ![]()
Marie Monsen, missionnaire norvégienne, vivait en Chine durant les années vingt. En ce temps-là, l’anarchie y régnait partout, et l’armée chinoise était loin d’être irréprochable. Une nuit, un commandant accorda à ses soldats de piller une ville pour les dédommager de la solde qu’il leur devait depuis longtemps. La ville en question abritait le siège de la mission où travaillait Marie, et elle s’y trouvait cette nuit-là. La rumeur indiquait que le pillage aurait lieu vers 22 heures, mais les soldats, n’y tenant plus, commencèrent dès 20 heures.
Marie et le groupe des chrétiens chinois entendirent tirer et hurler toute la nuit, mais pas un soldat ne vint frapper à leur porte. Tout au long de la nuit pourtant, des voisins terrorisés vinrent chercher refuge auprès d’eux. Ils escaladaient les murs de l’enclos, un petit baluchon sur l’épaule, espérant sauver ainsi une partie de leurs biens au cas où les soldats raseraient leur maison. La ville, mise à feu et à sang, était dans un état d’agitation intense. Marie et ses amis chrétiens passèrent la nuit à accueillir leurs voisins terrifiés, à les réconforter et à partager la paix que Dieu seul peut donner. Les non-croyants de ce quartier de la ville s’étonnaient de voir à quel point la foi chrétienne distinguait ces gens-là des autres. En effet, ils ne se souciaient pas de l’attaque qui partout faisait rage, alors qu'elle aurait pu les frapper à tout moment. Sous les balles qui sifflaient, Marie leur lisait la Bible et partageait avec tous les paroles de réconfort du Psaume 91:5 : “Tu n’as plus à craindre, ni terreurs la nuit, ni flèches qui volent durant la journée.” Elle actualisait le texte, remplaçant le mot “flèche” par le mot “balle”. L’écriture continue en disant que le Seigneur enverra des anges pour protéger Ses enfants. ![]()
Le lendemain matin, de nombreux habitants des environs vinrent s’enquérir de l’identité de leurs mystérieux “protecteurs”. Sur le coup, Marie ne comprit pas de qui ils voulaient parler, mais à force d’entendre la même histoire, elle finit par y croire. Tous, sans s’être consultés, affirmaient avoir aperçu trois grands guerriers étrangers perchés sur le toit de leur chapelle, un à chaque extrémité et l’autre au centre. Un quatrième personnage, assis sur le portail de l’entrée principale, avait surveillé tout à l'entour. Ceux-ci n’avaient pas bougé de la nuit et, selon tous les témoignages, ils “brillaient”.
Dieu vous enverra Ses anges juste au bon moment. Le Seigneur veut que vous sachiez qu’Il vous aime et se soucie de vous, et ces anges sont une façon parmi tant d’autres de vous le prouver. Alors rappelez-vous : si vous faites confiance à Dieu et à Sa providence, des anges veilleront sur vous—votre ange ou vos anges personnels—envoyés par Dieu pour prendre soin de vous! Story excerpted from the book Angels by Hope Price. Final paragraph © TFI. Foreground images of woman and angels © TFI. Backgrounds courtesy of Microsoft Clipart.
Images by Vexels.com. Text courtesy of Activated magazine. Used by permission.
Un jour, alors qu’il avait 43 ans, il trébucha sur une pierre d’une forme unique. Il rapporta cette étrange expérience en ces termes : « Je marchais très vite lorsque mon pied accrocha quelque chose qui m'envoya rouler quelques mètres plus loin. Je voulus en connaître la cause. J'avais bâti dans un rêve un palais, un château ou des grottes, je ne peux pas bien vous l'exprimer… Je ne le disais à personne par crainte d'être tourné en ridicule et je me trouvais ridicule moi-même. Voilà que quinze ans plus tard au moment où j'avais à peu près oublié mon rêve, que je n'y pensais plus le moins du monde, c'est mon pied qui me le fait rappeler. Mon pied avait accroché une pierre qui faillit me faire tomber. J'ai voulu savoir ce que c'était… C'était une pierre de forme si bizarre que je l'ai mise dans ma poche pour l'admirer à mon aise. Le lendemain, je suis repassé au même endroit. J'en ai encore trouvé de plus belles, je les ai rassemblées sur place et j'en suis resté ravi. »
ans de labeur et parvenu à l’âge de 77 ans, il acheva la construction de son palais. Mais Ferdinand n’en avait pas terminé. Il entreprit de bâtir un tombeau très élaboré qu’il acheva au bout de 8 ans, alors qu’il était âgé de 86 ans.
Si vous avez l’impression que votre vie est banale et que vous avancez péniblement le long de vos journées, rappelez-vous la vision du facteur, cette vision d’un palais idéal, et la tâche simple et laborieuse qui consiste à bâtir un rêve, une pierre à la fois. Vous ne pouvez pas connaître à l’avance les merveilleuses conséquences qui résulteront d’avoir un jour trébuché sur une pierre bizarre qui se trouvait sur votre route. Si vous pouvez faire de ces pierres d’achoppement des tremplins, vous pourrez créer quelque chose d’extraordinaire.
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